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Les Posets (3369 m) par les Granges de Viados :

 

Topo :

9 H AR

Niveau F++

Dénivelé : 1700 m

 

Itinéraire détaillé.

 

 

Départ depuis le tunnel de Bielsa.

 

 

Passé San Juan de Plan, prendre la piste carrossable vers Biados.

 

 

On s’engage sur 10 km de piste accessible par n’importe quel voiture.

 

 

Cependant, la piste est parfois dans un sale état quand elle n’est pas trop étroite pour y croiser un autre véhicule.

 

 

Voici ce qui nous attend.

 

 

Les granges de Viados.

 

 

Vue sur le massif des Posets à gauche et sur les pics d’Eriste à droite.

 

 

IMMENSE !

 

 

Une grange, encore utilisée pour le stockage de foin et de sel pour les animaux.

 

 

On remarquera le balisage à l’espagnol.

 

 

 

Et c’est parti. Après une petite descente, on passe sur ce charmant petit pont.

 

 

Après le pont, bifurcation à gauche.

 

 

Vision sortant de l’ordinaire de cette petit cascade orange.

Se n’est pas l’eau qui est colorée mais le sol qu’elle arrose qui réagit à sa haute teneur en fer.

 

 

On monte vers la cabane de Basa.

 

 

On peut s’y arrêter dormir.

 

 

 

Coucher de soleil dans les nuages à 2000 m d’altitude.

 

 

Départ le matin suivant dans la forêt.

 

 

Sortie de la forêt. Si on part vers la droite on peut apercevoir les ruines de la cabane du Clot. (voir photo au retour)

 

 

Petit zoom sur le Mont Perdu (P), le Cylindre (C) et le Marboré (M).

 

 

Beaucoup de cheminées de niveau I sur cette montée.

 

 

Point de passage bien visible de l’arrivée de la 1ere cheminée.

 

 

Dédale de chemins et vision lunaire de cette montée.

 

 

Montée pénible par ces éboulis sans fin.

 

 

Arrivée au cirque glaciaire au bord de la moraine qu’il nous faut parcourir.

Partie reposante jusqu’au I suivant.

 

 

On aperçoit le couloir Jean Arlaud au-dessus du reste du glacier de Llardana.

 

 

Résurgence du glacier qui nous fait traverser plus bas quelques barrancos (torrents).

 

 

Gros plan sur le couloir Jean Arlaud et la falaise Nord des Posets

 

 

Les choses techniques commencent avec cette cheminée facile.

 

 

Zoom sur la partie supérieure de la crête aérienne.

On peut voir que certains aiment à augmenter la difficulté.

 

 

Coup d’œil arrière sur la moraine.

 

 

Encore de l’éboulis et des chemins partout pour finir d’arriver à un collet.

 

 

Le collet.

 

 

Le Perdiguère (P) se dévoile devant nos yeux.

 

 

Les Gourgs Blancs (GB)

 

 

Ici les choses sérieuses commencent.

On se lance dans une montée aérienne sur cette longue crête.

 

 

Petite pause pour admirer de gauche à droite :

Les Spigeoles (S), Le Quayrat (Q),  Le Pic Lézat (L) et Le Perdiguère (P, le plus haut pic de la Haute-Garonne).

 

 

Zoom sur le refuge et les granges de Viados.

 

 

Aller ça monte !

 

 

On ne se rend pas bien compte, mais en fait le chemin est presque à la verticale. On n’hésite pas à s’aider des mains.

Attention les roches sont coupantes et le froid à cette altitude gèle les doigts. Prévoir des gants n’est pas du luxe.

 

 

Grimpette aérienne en escalier sur la crête jusqu’au sommet.

Remarque : pour arriver jusque là, il arrive que l’on se perde au milieu de toutes ces pierres, mais on retrouve vite le chemin.

 

 

On en profite pour admirer les massifs du Perdiguère et de l’Aneto dans les nuages.

 

 

Zoom.

 

 

Passage à flanc de falaise verticale.

 

 

Le Néouvielle se découvre dans les nuages.

 

 

Ca monte dur dans une roche peu stable.

 

 

 

Nous sommes sur l’antécime.

On aperçoit la partie la plus vertigineuse du parcours (sur la gauche).

Ca y est, on y est presque.

C’est très vertigineux, d’autant plus que le vent souffle très fort sur cette partie à venir très peu large. (Appelée aussi taillante !)

 

 

3369 m ! Voici la borne géodésique des Posets.

 

 

 

Enfin, on peut se reposer en admirant le paysage quand les nuages le veulent bien.

 

 

Vue sur Las Espadas des Posets (E) et l’arrivée du couloir Jean Arlaud dans le col.

 

 

Arrivée de la voie normale par le refuge d’Angel Orus.

Tout à droite de la photo, on peut observer la Dente de Llardana.

 

 

Vue sur les taillantes de Las Espadas.

 

 

Eclaircie sur les lacs d’Alto.

 

 

Le Néouvielle (N) et le Batoua (B ou Pic de Culfreda)

 

 

Un peu de calme et de repos dans un cadre enchanteresque.

 

 

Il est temps de repartir d’autant plus qu’il fait très froid.

 

 

Remarque : la corniche blanchâtre est plus friable que le reste.

 

 

Beaucoup de passages délicats.

 

 

Cette sacrée descente vertigineuse donne le tournis.

 

 

Le Campbiel (C), le Pic Long (L), le Turon de Néouvielle (T), Le Batoua (B), Le Néouvielle (N) et enfin Le Lustou (L).

 

 

Allé, la descente difficile est presque finie !

 

 

Zoom sur la Pointe du Sabre (S) et le Grand Bachimale (Gr B).

 

 

Au loin le Campbiel (C) et le Pic Long (L) derrière.

 

 

 

Zoom sur le Batoua.

 

 

Retour sur la moraine devant le glacier.

 

 

 

Remarque : la descente des cheminée est moins facile qu’à la montée.

 

 

Si on a l’œil, on peut apercevoir les petites marmottes qui annoncent notre arrivée.

 

 

 

Et oui, on a fait tout ça… Dernier aperçu des difficultés de la montée.

 

 

Zoom sur les Pics d’Eriste.

 

 

On longe la forêt,  en esquivant quelques vaches espagnoles un peu farouches.

 

 

Les ruines de la Cabane du Clot : ancien camp de base des premiers pyrénéistes (Brulle et Arlaud) !

 

 

Vue sur le massif du « Pinar del Clot ».

 

 

On peut commencer la montée vers les Posets en dormant ici la veille,

mais le coin est sauvagement gardé par des locataires peu aimables.

 

 

Dommage qu’on n’ai pas eut ce temps là en haut…

 

 

Vue sur ce magnifique massif.

 

 

Retour aux granges de Viados.

 

 

C’était là-bas, 1700 m plus haut.

Sacrée Montagne…

 

 

 

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